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Couvent(s) Résumé(s)
Couvent carmélitain Sainte-Marie de Gdańsk

Vers 1380-1390  Fondation du couvent, vraisemblablement par le grand maître de l'Ordre teutonique, hors de l'enceinte urbaine, dédié à Notre-Dame

1400-1422  Achèvement des travaux de construction de l'église (originelle) et du couvent

1433  Dégâts importants causés par les hussites

1464  Le couvent est transplanté intra muros, auprès de la chapelle Saint-Georges, cédée par la municipalité

1525  La diffusion de la Réforme entraîne des dégradations

1823  Fermeture du couvent.

La ville accueillit à nouveau des frères de l'Ordre du Mont-Carmel à partir de 1947 mais l'église et le vocable actuels (Sainte-Catherine) ne sont pas ceux d'origine.

Couvent carmélitain Sainte-Marie de Prague

1347  Fondation du couvent de Carmes dans la Nouvelle Ville de Prague par le roi-empereur Charles IV de Bohême, sur un terrain donné par celui-ci et situé dans la Ville Nouvelle, près de la Porte Saint-Gall, d'un cimetière et du "jardin des Juifs"

1412, 1419  Attaques des hussites puis occupation du couvent, avec séquestration des frères

1435  Retour de quelques frères dans le couvent

1484  Départ des frères suite à une émeute

1496  Retour de 13 frères et du prieur

1542  Des intempéries causent de graves dégâts dans l'église

1543  Départ des frères, à l'exception du prieur, qui reste jusqu'en 1566 environ

Les Carmes reviennent à Prague en 1627 mais s'installent sur un site différent.

Couvent dominicain de l'Assomption de Uherský Brod

1262  Fondation du couvent, dans cette petite ville de marché peuplée de Hongrois et très proche du royaume de Hongrie, par un fondateur non identifié et en présence du frère Melchior, selon la tradition locale (< CHB, p. 284)

1338  Première mention documentaire du couvent (< CDM, VII, 195 p. 143)

v. 1425  Destructions liées aux guerres hussites, qui obligent les frères à se réfugier en Pologne

1545  Les protestants expulsent les frères du couvent ; ils ne reviennent qu'après 1620.

 

Couvent dominicain Saint-Jacques de Sandomierz

1226  Fondation du couvent Saint-Jacques par l'évêque de Cracovie Iwo Odrowąż (parent du dominicain Hyacinthe / Jacek Odrowąż, canonisé) en dehors de la nouvelle ville (construite en 1289)

1260  Violente incursion tatare qui cause la mort du prieur, Sadok, et de 48 frères, selon des récits tardifs

v. 1286  Lors de la reconstruction de la ville, le duc de Sandomierz Lesco le Noir offre aux frères un nouveau terrain dans la ville close, où ils construisent l'église Sainte-Marie-Madeleine

1458-1543  Les deux couvents dominicains Sainte-Marie-Madeleine et Saint-Jacques fonctionnent de manière indépendante

Couvent dominicain Sainte-Marie d'Elbląg

1238  Fondation du couvent par Hermann Balk, précepteur de l'Ordre teutonique

1277  Le couvent accueille le chapitre provincial

1466  Rattachement de la ville au royaume de Pologne

1504  Incendie de l'église et du couvent, reconstruits environ dix ans plus tard

1542  Les biens du couvent sont transférés à la municipalité par les deux derniers frères du couvent.

Couvent dominicain St-Pierre-Martyr d'Opatowiec

1283  Fondation du couvent Saint-Pierre-Martyr par le duc de Sandomierz Lesco le Noir et l'abbé bénédictin de Tyniec Thomas

1490  Possible réunion d'une assemblée nobiliaire dans ce couvent

1497-1498  Création d'une confrérie du Rosaire, éphémère

1521  Ajout d'indulgences (par interpolation) à la charte de fondation originale

Couvent franciscain Corpus Christi de Český Krumlov

1350-1358  Fondation du couvent par les membres du lignage des Rožmberk (ou Rosenberg), seigneurs du lieu depuis 1302, dans ce qui était à l'origine un faubourg de la ville, peut-être pour endiguer l'hérésie vaudoise ; un couvent de Clarisses fut fondé simultanément ; rattaché à la custodie de Prague, il devint par la suite le siège d'une custodie

v. 1375  Fondation d'une communauté de tertiaires (?) ou béguines

v. 1420  Dommages causés par les guerres hussites, suivis de longues années de reconstruction

v. 1520  La diffusion de la Réforme nuit au couvent

1950  Fermeture du couvent

Couvent franciscain obs. de Nyírbátor

1479-1485  Fondation du couvent par le voïvode de Transylvanie Étienne de Bátór, sans doute après la victoire de Câmpul Pâinii / Kenyérmező contre les Ottomans (13 octobre 1479), peut-être à partir d'un couvent franciscain préexistant

1511  Le maître florentin Marone termine l'exécution des stalles destinées au choeur de l'église

1514  Pillage du couvent par les paysans insurgés, qui s'emparent des objets liturgiques

1526  Attaque du couvent, dont les réserves de blé sont dérobées

1528  Pillage du couvent par les troupes de Ferdinand Ier

1552  Transfert en lieu sûr des objets liturgiques, dans la forteresse d'Ecséd, au moment du siège d'Eger

v.1560-av. 1603 Les Báthory d'Ecsed étant devenus protestants, ils font transférer les dépouilles familiales et les stalles du couvent jusque dans l'église Saint-Georges, devenue temple réformé

1563  Le couvent est mentionné pour la dernière fois au chapitre provincial

1566  Abandon du couvent après le départ de Nicolas de Bátor à Ecséd, pour cause d'insécurité (reconstruit en 1717)

Couvent franciscain obs. de Vinogradov / Szőllős

1471-1494  Fondation du couvent par la famille Perény (branche de Nyalábvár)

1525, 1554  Tenue du chapitre provincial dans ce couvent

1526  Après la défaite chrétienne de Mohács et la mort de Jean de Capistran, sa dépouille est transférée dans ce couvent

1556  Attaque du couvent par les protestants, à l'instigation du seigneur-patron François de Perény, qui jettent les reste de Capistran dans un puits

1557  Destruction du couvent pendant le siège de la ville par les troupes de Ferdinand Ier de Habsbourg

Retour des Franciscains en 1668.

Couvent franciscain obs. Saint-Esprit d'Oradea Mare / Nagyvárad

v. 1490  Fondation de ce couvent par l'ordre, avec l'accord probable de l'évêque, alors qu'il existait déjà un couvent franciscain dans la ville (conventuel), dans un emplacement inconnu mais situé hors les murs, sans doute à l'ouest de la forteresse

v. 1510  Conflits avec le clergé paroissial

1514  Le gardien de ce couvent est chargé de prêcher la croisade contre les Ottomans dans toute la moitié orientale du royaume, au-delà de la Tisza

1529  Une école de théologie fonctionne dans ce couvent

1535  Un studium generale fonctionne dans ce couvent ; le plus peuplé de la province de Hongrie à cette date ; il accueille par ailleurs 7 fois le chapitre provincial depuis 1531 et jusqu'en 1552

1556  Les objets liturgiques du couvent sont confiés à la famille Bajon

1558  Dernière nomination d'un gardien dans ce couvent

1559-1560  Abandon du couvent face aux agressions répétées de l'ispan de BIhar et du capitaine d'Oradea

Couvent franciscain obs. St-Sauveur de Baia Mare / Nagybánya

1437-1438  Fondation du couvent par le despote serbe Georges Branković, seigneur du lieu, contre l'avis du clergé séculier local et grâce sans doute à l'appui de Jacques de la Marche, autorisée par le pape Eugène IV le 21 août 1437 et confirmée au vicaire de Bosnie (qui est alors le même Jacques de la Marche) le 24 décembre 1438

1460  Mention d'un prédicateur germanophone dans ce couvent, en lien avec la présence d'une forte communauté d'origine allemande exploitant les mines

1481  Le gardien de ce couvent, nommé Ladislas participe, avec le recteur d'autel Paul, à la prédication des indulgences jubilaires dans l'église paroissiale Saint-Étienne

1512  Mention d'une assocation de flagellants rattachée à ce couvent et qui suscite des conflits avec les citadins

1534-1551  Menaces de fermeture du couvent par les protestants, que la présence du gouverneur de Transylvanie "frère Georges" (frater György) écarte jusqu'à son assassinat le 17 décembre 1551

1548  Le curé de la ville étant devenu protestant, ce sont les frères qui assurent la cure d'âmes dans la ville

1551-1552  Destruction du couvent par les habitants, passés au protestantisme comme tous les partisans de Jean de Szapolya contre Ferdinand de Habsbourg

Couvent franciscain obs. Ste-Marie de Cenad / Csanád

1448  Première tentative de transfert aux Franciscains observants de cet ancien monastère bénédictin abritant le sépulcre en argent de saint Gérard

1493  Fondation du couvent Sainte-Marie à la demande de l'évêque de Cenad, Luc (Baratin) de Szeged, avec l'autorisation du pape ; il est rattaché à la custodie de Ineu / Jenő

1514  Les paysans insurgés attaquent le couvent ; le cercueil de saint Gérard, réduit en morceaux, est alors transféré au couvent de Pest

1539-1542  Une école formant les novices est mentionnée dans ce couvent

1542-1550  Une communauté de tertiaires féminines est mentionnée comme dépendant de ce couvent

1550  Les frères quittent le couvent à l'automne, au moment du départ des troupes de défense hongroises de la citadelle, pour aller au devant des Ottomans

Couvent franciscain obs. Ste-Marie de Cluj / Kolozsvár

1486-1494 env.  Fondation du couvent Sainte-Marie (ou Notre-Dame-des-Neiges) par le roi Mathias Corvin, après quoi les travaux se poursuivent au moins jusqu'en 1494, en bénéficiant du produit des mines de sel royales, par décision du roi Wladislas II Jagellon

1506  Mention d'un couvent de Clarisses fondé auprès de ce couvent par Jean Erdélyi et Nicolas Bethlen ; en piteux état en 1544, il ne compte plus qu'une religieuse, âgée, en 1572

1522  Mention d'une communauté de tertiaires féminines, qui fonctionne jusque vers 1580, peut-être dans les mêmes murs que les Clarisses

1551  Première expulsion des frères par les habitants, passés au protestantisme

1556 (15-16 mars)  Expulsion violente des frères (un mort) puis saccage de l'église (destruction des autels et des tableaux, croix incendiées), peut-être à l'initiative du maire Étienne Ötvös

Lorsque les Franciscains reviennent dans la ville au siècle suivant, ils ne peuvent s'installer dans leurs anciens murs.

Couvent franciscain obs. Ste-Marie de Gyula

1420  Fondation du couvent par le ban Jean de Marót, dédié à saint Ladislas dans le projet initial (selon l'autorisation accordée par le pape Martin V le 23 février), puis à la Vierge Marie

v. 1450 (?) Une communauté de tertiaires voit le jour (mentionnée pour la première fois en 1510) ; les frères leur fournissent un confesseur (mentionné en 1535)

1452  Le couvent accueille le chapitre provincial, de même qu'en 1490 et 1533

1529-  Le couvent bénéficie du soutien actif de l'évêque d'Oradea Émeric Czibak, également seigneur de la ville, puis (après la mort de ce dernier en 1534) de celui de son neveu et successeur Nicolas Patócsy

1542  Une école de théologie est ouverte dans ce couvent

1556  Abandon du couvent, suite aux mesures hostile du nouveau commandant de la place, Gáspár Mágócsy, luthérien

1566  Démolition du couvent, détruit par les Ottomans après la prise de la ville

après 1556, la communauté de tertiaires se maintient jusqu'en 1564 et dispose de tenures dans la ville

Couvent franciscain obs. Ste-Marie de Mediaş / Medgyes

1444  Le pape autorise les Franciscains à reconstruire ce couvent désaffecté, avec l'aide des habitants

v. 1500  Importante phase de travaux sur l'église du couvent

1525  Première mention d'une communauté de tertiaires, qui a peut-être fonctionné jusqu'au départ des frères en 1556

1534  Malgré les protestations des frères, le sulfureux gouverneur de Transylvanie Louis Gritti est enterré dans l'église du couvent 

1556-1557  Expulsion des frères par les adversaires de Ferdinand Ier et et attribution de l'église aux protestants

Le couvent ne revient aux Franciscains qu'en 1721 (province stéphanite).

Couvent franciscain obs. Ste-Marie de Târgu Mureș / Márosvásárhely (2)

1444  Transfert du couvent franciscain de la ville aux Observants par décision du légat Jules Césarini, avec l'appui de Jean de Hunyad

1492  Confirmation par le pape de l'appartenance de ce couvent à la vicairie observante de Hongrie

1503  Première mention d'une communauté de tertiaires rattachée à ce couvent (jusqu'en 1576)

1535  Le couvent devient le centre d'une nouvelle custodie du même nom (supprimée en 1537)

1556  Expulsion brutale des frères par les partisans protestants de Jean-Sigismond de Szapolya

Couvent franciscain Saint-François de Székesfehérvár

v.1230-v.1260  Fondation du couvent franciscain de Székesfehérvár, probablement par le roi de Hongrie, à un emplacement inconnu ; le vocable à saint François est mentionné dans un testament de 1367

1303  Studium (puisqu'un lecteur en théologie y est mentionné)

déb. XIVe s. : scriptorium, où furent rédigées les célèbres "gloses/lignes d'Alba Iulia"  (Gyulafehérvári glosszák/sorok) comportant des passages traduits en hongrois (v. 1310)

1533  Première mention d'une communauté de tertiaires franciscaines ("béguines"), dont les frères ont la cure d'âmes (un confesseur des moniales est nommé en 1533)

1543  Destruction intégrale de l'église et du couvent. Les Franciscains s'établirent au XVIIIe siècle sur un emplacement différent (actuelle église Saint-Émeric).

 

Couvent franciscain Sainte-Marie d'Eger

1239 (?)  Fondation du couvent d’Eger par l’évêque de la ville, Kilit, selon la tradition rapportée au XVIe siècle

1300  L’église de ce couvent est mentionnée comme lieu de pèlerinage (en l'occurrence, judiciaire)

1489-1490  Le roi Mathias Corvin s'étant plaint du relâchement de la discipline dans ce couvent, le pape ordonna aux frères de s'amender en mars 1490

1552  Au moment du siège d'Eger, occupation du couvent par les Ottomans, qui y entreposaient leurs canons, puis destruction du couvent et de l'église. 

Le site du couvent a été réutilisé ensuite par les Servites.

Couvent franciscain Sainte-Marie de Debrecen

1322-1340  Fondation du couvent par le seigneur de cette partie de la ville, Jacques « fils de Pierre » (Péterfia)

1448  Sur demande de Jean de Hunyad,  nouveau seigneur de la ville, ordre du légat Jean Carvajal de transférer le couvent aux Observants (25 juin 1448) ;  mais le couvent reste aux Conventuels

1466  Seconde tentative de transfert aux Observants à la demande de la reine-mère Élisabeth de Szilágy, veuve de Jean de Hunyad et mère du roi Mathias Corvin ; mais l’enquête confiée par le pape à l’évêque d’Oradea / Nagyvárad

1468  La demande de transfert à l'Observance est déboutée (seul le couvent de Szécsény passe à l'Obervance)

1489  Le roi Mathias Ier demande à nouveau le transfert de ce couvent à l'Observance

1490 (1er mars)  Le pape ordonne à son nonce l’évêque d’Orte de contraindre les frères de Debrecen à mener une vie plus conforme à la règle

1490 (6 avril)  Interruption du processus en raison de la mort du roi Mathias

1533  Première mention d’une fraternité de tertiaires franciscaines

1552-1553  Fermeture du couvent

Couvent franciscain Sainte-Marie de Satu Mare / Szatmár

av. 1285 (?)  Fondation de ce couvent, mentionné parmi les couvents de la custodie d'Eger (1316/1334) puis dans celle d'Oradea Mare (1380), à un emplacement inconnu

1448  Suite aux accusations contre les frères (les mêmes qu’à Debrecen et Esztergom), un ordre de transfert à l'Observance est donné ; mais l'occupation de la ville par le despote Georges Branković empêche son application

1556  Destruction pendant la guerre civile opposant partisans et ennemis de Ferdinand Ier de Habsbourg, notamment pendant la reprise en force de la ville par les Báthory de Somlyó, ennemis de Ferdinand ; après quoi la ville passe sous la direction de Menyhért Balassa, luthérien, empêchant ainsi le retour des frères.

Couvent franciscain St-Jean-et-Ste-Marie de Bratislava / Pozsony

v.1250-1270  Fondation du couvent, sous le vocable de saint Jean l'Évangéliste

1271, 1273  Destructions causées par les campagnes d'Ottokar II de Bohême, suivies d'une reconstruction par le roi Ladislas IV

1297 (25 mars) Consécration en grande pompe par l'archevêque d'Esztergom de la nouvelle église du couvent, dédiée à la Vierge de l'Annonciation, en remplacement de l'ancienne église, la chapelle Saint-Jean

1297-1782  Le couvent a la cure du couvent de Clarisses de la ville (Sainte-Marie-Madeleine), ce qui occasionne de nombreuses interventions de leur part pour défendre les biens des soeurs

1327  Chapitre provincial dans ce couvent (le seul jusqu'en 1544)

1439  Incendie

v.1450-1455  Importants travaux de reconstruction et d'agrandissement

1480 Incendie

1490  La demande de transfert à l'Observance effectuée par le roi Mathias Corvin est interrompue par sa mort

1526  L'occupation par les Ottomans du centre de la Hongrie fait de ce couvent le refuge de nombreux frères venus de Hongrie intérieure, ainsi que le lieu de dépôt de ce qu'ls ont pu sauver de leurs archives (certaines s'y trouvent encore) ; c'est dans le réfectoire du couvent que Ferdinand de Habsbourg est acclamé roi le 17 décembre

1529  Les frères s'enfuient en lieu sûr face aux Ottomans en marche sur Vienne ; la ville tente de transformer l'église en paroisse mais le roi Ferdinand ordonna sa restitution aux frères

1541  La ville étant devenue la capitale de la Hongrie royale, de nombreux assemblées se tiennent dans ce couvent ; tous les chapitres de la province marianiste de Hongrie s'y réunissent de 1544 jusque vers 1650

1786  Fermeture du couvent

Couvent franciscain St-Louis-de-Toulouse de Lipova / Lippa

1325  Fondation du couvent par le roi angevin de Hongrie Charles Ier, qui le dédicaça à son oncle Louis, évêque de Toulouse, frère mineur et récemment canonisé (1317)

1349  La reine-mère Élisabeth de Pologne acheva la construction du couvent (d'après la bulle d'indulgences de 1349, qui lui attribue sa construction)

1448  Ce couvent est mentionné dans la liste de 4 couvents devant faire l'objet d'une enquête et, si les accusations de "vie dissolue" sont fondées, passer à l'Observance, sur ordre du légat Jean Carvajal, à la demande du gouverneur Jean de Hunyad et des représentants du royaume ; résultats inconnus mais le couvent Saint-Louis continue d'apparaître sur les listes "conventuelles" par la suite

1531  Une maison de béguines dédiée à Sainte-Élisabeth était rattachée à ce couvent

1533  Le chapitre provincial affecta un chantre et un organiste à ce couvent

1551 Tortures infligées aux frères par les soldats ottomans du bey Oulama, sur dénonciation d'habitants luthériens

1552  Fermeture du couvent après l'occupation de la ville par les Ottomans.

 L'église et le couvent sont aujourd'hui détruits. Seules des caves (inventoriées mais non retrouvées) auraient subsisté.