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Couvent(s) Résumé(s)
Couvent dominicain Saint-Adalbert d'Opole

v. 1285  Fondation du couvent dominicain Saint-Adalbert par le duc d'Opole Boleslas Ier près de l’église Notre-Dame

v. 1295  Perte des droits paroissiaux et transferts des biens du couvent à la collégiale Sainte-Croix d’Opole.

v. 1520  La propagation de la Réforme vide peu à peu le couvent de ses hôtes

v. 1530  Alors qu’il ne reste qu’un frère dans l'établissement, la municipalité saisit l’église et les bâtiments conventuels.

Couvent dominicain Sainte-Trinité de Cracovie

1222  Arrivée des Dominicains à Cracovie, accueillis par l'évêque de la ville, Iwo Odrowąż

1223  Consécration de l'église du couvent Sainte-Trinité, sur le site d'une ancienne église paroissiale

1241  Destruction du couvent par les Tatars suivie d'une phase de reconstruction

1462  Incendie puis reconstruction de l'église et des bâtiments conventuels

Le couvent est toujours en activité.

Couvent franciscain de Krížovany / Szentkereszt

1340  Bulle du pape Benoît XII demandant à l'archevêque d'Esztergom de s'assurer de la conformité des moyens de subsistance et des bâtiments prévus par le fondateur du couvent, Nicolas de Perény

Plus aucune trace, ni écrite, ni archéologique, de ce (projet de) couvent par la suite.

Couvent franciscain obs. St-Sauveur de Baia Mare / Nagybánya

1437-1438  Fondation du couvent par le despote serbe Georges Branković, seigneur du lieu, contre l'avis du clergé séculier local et grâce sans doute à l'appui de Jacques de la Marche, autorisée par le pape Eugène IV le 21 août 1437 et confirmée au vicaire de Bosnie (qui est alors le même Jacques de la Marche) le 24 décembre 1438

1460  Mention d'un prédicateur germanophone dans ce couvent, en lien avec la présence d'une forte communauté d'origine allemande exploitant les mines

1481  Le gardien de ce couvent, nommé Ladislas participe, avec le recteur d'autel Paul, à la prédication des indulgences jubilaires dans l'église paroissiale Saint-Étienne

1512  Mention d'une assocation de flagellants rattachée à ce couvent et qui suscite des conflits avec les citadins

1534-1551  Menaces de fermeture du couvent par les protestants, que la présence du gouverneur de Transylvanie "frère Georges" (frater György) écarte jusqu'à son assassinat le 17 décembre 1551

1548  Le curé de la ville étant devenu protestant, ce sont les frères qui assurent la cure d'âmes dans la ville

1551-1552  Destruction du couvent par les habitants, passés au protestantisme comme tous les partisans de Jean de Szapolya contre Ferdinand de Habsbourg

Couvent franciscain obs. Ste-Marie de Cejkov / Céke

1450-1459  Fondation du couvent par Ladislas (de Céke) d'Imreg, seigneur de la localité et du domaine environnant, composé de 5 ou 6 villages

v. 1540  Pierre de Perény, nouveau patronus du couvent et seigneur du lieu est protestant, ce qui entraîne des agressions répétées contre les frères (pillages, massacre du gardien)

1548  Expulsion des frères sur ordre de Gabriel de Perény, fils de Pierre et lui aussi protestant

Couvent franciscain obs. Ste-Marie de Cenad / Csanád

1448  Première tentative de transfert aux Franciscains observants de cet ancien monastère bénédictin abritant le sépulcre en argent de saint Gérard

1493  Fondation du couvent Sainte-Marie à la demande de l'évêque de Cenad, Luc (Baratin) de Szeged, avec l'autorisation du pape ; il est rattaché à la custodie de Ineu / Jenő

1514  Les paysans insurgés attaquent le couvent ; le cercueil de saint Gérard, réduit en morceaux, est alors transféré au couvent de Pest

1539-1542  Une école formant les novices est mentionnée dans ce couvent

1542-1550  Une communauté de tertiaires féminines est mentionnée comme dépendant de ce couvent

1550  Les frères quittent le couvent à l'automne, au moment du départ des troupes de défense hongroises de la citadelle, pour aller au devant des Ottomans

Couvent franciscain Sainte-Marie de Beregove / Beregszász

1377  Fondation par la reine-mère de Hongrie Élisabeth Łokietek

1380  Construction encore en cours à la date du testament de la fondatrice (6 avril 1380)

1533  Couvent mentionné dans l’inventaire de 1533 comme appartenant à la custodie d’Oradea Mare / Nagyvárad

1543  Le roi Ferdinand Ier de Habsbourg interdit au capitaine de Mukacheve / Munkács de transformer le couvent en élément de fortification, à la demande des frères

1553  Fermeture du couvent après l’expulsion des frères par les protestants, après le meurtre d’un prédicateur luthérien

1567  Mise en gage du couvent et de ses biens, qui voue à l'échec tout projet de réouverture, malgré la reprise de la forteresse de Mukacheve par les troupes du roi Ferdinand Ier sur celles du prince de Transylvanie Jean-Sigismond.

Couvent franciscain St-Jean-Baptiste de Brno

v. 1230-1232  Fondation du couvent par le roi de Bohême (Wenceslas Ier) ou bien par un aristocrate (peut-être Jean Velen, ancêtre de la lignée des seigneurs de Boskovice, ou Přibyslav de Křižanov)

1257  Consécration de l'église Saint-Jean-Baptiste

1262  Incendie

1285  Reconstruction de l'église et du couvent à l'initiative du roi de Bohême Wenceslas II

1306  Reconstruction après l'incendie de la ville, à l'impulsion du duc d'Opava Nicolas

1495  La peste emporte 24 frères de ce couvent

après 1550  Le couvent, vidé de ses occupants par la propagation du luthéranisme, n'abrite plus que le supérieur

Couvent fermé en 1950 puis rouvert en 1990.