v.1430 (?) Fondation du couvent, peut-être après le séjour de Jacques de la Marche au château royal de Tata et à la demande du roi Sigismond de Luxembourg
1462 Première mention écrite du couvent
1516 Le couvent est mentionné parmi ceux de la custodie d'Esztergom
1543 Abandon du couvent suite à la prise de la localité par les Ottomans
KARÁCSONYI János, Szent Ferencz rendjének története Magyarországon 1711-ig, Budapest, 1922-1924, t. II, p. 193-194
Budapest, Magyar Nemzeti Levéltár [Archives Nationales Hongroises], Országos Levéltár, (MNL)
Szeged, Csongrád Megyei Levéltár (CsML) [Archives du comitat de Csongrád], Origo fratrum minorum regularis observantiae s. b. Francisci in Hungaria, ms XII 4, a/20, fol.65v (= liste des frères, 1534-1535)
BUNYITAY Vincze, RAPAICS Rajmond, KARÁCSONYI János (éd.), Monumenta ecclesiastica tempora innovatae in Hungaria religionis. Egyháztörténelmi emlékek a magyarországi hitujítás korából, Budapest, t. I-V, 1902-1912, t. II, n°159 p. 179-181 (= testament de Madeleine, veuve du lapicide de Cluj prénommé Georges, 19 décembre 1531)
Parmi les 5 frères lais mentionnés dans la liste interne de 1535, l'un était charpentier (carpentarius).
< KARÁCSONYI, II, p. 194 (d'après Chronica seu origo fratrum, fol. 65v) ; CsML, ms XII.4 a/20, fol. 65v
Mais rien n'indique qu'il travaillait pour des commandes extérieures.
| Etat | Equipement |
|---|---|
Aucun vestige médiéval. Église entièrement reconstruite. |
À l'arrivée des Ottomans en 1543, les frères font transférer les objets liturgiques précieux à Visegrád puis à Fiľakovo / Fülek. En 1619, il en restait :
< KARÁCSONYI, II, p. 194 (d'après Magyar Sion II 1864, p. 233-234)
|
| Date | Testateur | Sociographie | Legs | Détail |
|---|---|---|---|---|
| 1491 | Nicolas de Koromlyó | Noble(s) de niveau intermédiaire ou inférieur | 4 porcs | Le 3 janvier 1491, le noble Nicolas de Koromlyó lègue par testament au couvent 4 porcs (comme à un autre couvent franciscain observant, celui de Várpalota) :
< MNL DL 19702 |
| 1531 | Madeleine, veuve du tailleur de pierre Georges (Kőfaragó) | Bourgeois urbain(s) | 5 florins | Dans son testament dressé à Cluj le 19 décembre 1531, la veuve du lapicide Georges nommée Madeleine fait de très nombreux dons à des couvents franciscains observants, dont celui-ci, à qui elle lègue 5 florins :
< BUNYITAY et alii (éd.), n°159 p. 180 |